[hot] Baisse ta culotte, c'est moi qui pilote! (luigi)

Une nouvelle journée banale allait commencer, enfin toutes les journées sont longues dans une ambulance lorsque t'es assisté d'Anne, cette vieille peau de vache. Mais t'arrivais tôt ce matin au travail, car tu étais de service très tôt, bien que t'en avais pas vraiment envie, ton envie arrivais lorsque ta responsable de service, celle qui fait les plannings t'annonce cette fameuse bonne nouvelle. Bien sûr, tu ne voyais pas quoi immédiatement et malgré ses indices, tu ne savais toujours pas qui allait se joindre à toi pour la journée. Seulement, à l'annonce du prénom de cette jeune stagiaire, tu savais que t'allais aimer cette journée, car oui, toi et Bridget vous vous connaissez, bien que ce soit encore qu'une élève de qui t'es 'responsable' tu aimes prendre du bon temps avec elle, t'aime son corps, t'aime sa vision de voir la vie. Elle arrive a te satisfaire, te faire prendre ton pied à chaque fois, car oui, ce n'est pas la première fois que tu couchais avec elle et sûrement pas la dernière car tu veux toujours plus, toujours plus d'elle. T'arrivais en bas, tu la laissais s'installer à bord du véhicule, tu passais côté conducteur car les élèves n'ont pas le droit de conduire, bien que si elle veut elle peut, tu t'en fous un peu, royalement même. Te saluant, t'appelant 'monsieur', ce qui te faisais rire au fond. Voyons, on ne se permet pas d'appeler monsieur une personne avec qui tu as couché à de multiples fois.. Ton sourire s'élargissait, tes yeux se perdaient dans le peu qui s'offrait à toi, dans son débardeur Tâche de la garder, cette fois.. Un sourire malicieux s'affichait sur ton visage car oui, souvent lorsque vous vous voyez vos vêtements s'enlèvent de vos corps.

Sa réponse t'amusait, t'en riais, t'aimais bien passer du temps avec l'étudiante, elle était un peu comme toi, sans attaches, elle profite des bonnes choses de la vie, tout ce que t'aimer voir chez une femme. Sa blouse refermée, dommage, mais tu sais que bientôt, tu l'ouvriras, si elle ne le refait pas avant.. Son téléphone sonnait annonçant un malaise d'une femme âgée au sud de la ville, tu t'y rendais immédiatement, au plus vite, tu mettais les sirènes en route afin de vous y rendre sans embouteillages, t'embarquais la vieille femme expliquant en bref la tâche de Bridget, ton étudiante qui était sous ta surveillance. Tout se déroulait bien, tu l’emmenais après une bonne heures de travail à l’hôpital de Bristol, une fois déposée, la jeune femme et toi repartez dans les rues de la villes, roulant en attendant le prochain appel, durant de longues heures vous avez la chance de discuter et bien sûr le sujet le plus inévitable ressortais, ces fameuses nuit passées ensembles. Sinon, pourquoi t'as couché avec moi ? Par envie ? après oui, la discussion éveillait toute envie en toi, et tu ne tardais pas à lui faire comprendre. J'me sens un peu .. Tendu.. Et si.. T'allais voir si elle se comporte bien ? Tu souriais, un sourire large s'affichait sur ton visage, ou tu lui demandais clairement de t'octroyer quelques minutes de plaisir, chose qu'elle ne regretteras pas surtout en voyant qu'il n'y a rien a faire pour le moment, autant s'occuper comme on aime le faire.

Une vie sauvée te fait toujours plaisir à savoir, c'est ton boulot et tu l'aimes, surtout lorsque t'es assisté par une si jolie demoiselle tel que Bridget. Une fois qu'elle a fini les explications plutôt détaillée envers votre collègue vous remontez à bord afin de tourner dans la ville et de pouvoir réagir au plus vite au prochain appel. Le sujet tant attendu du pourquoi vous coucher ensemble arrivais, car tu voulais savoir la raison du pourquoi elle s'envoie tant en l'air avec toi, il suffit que vous vous croiser dans les couloirs de l’hôpital, pour que tu l'attires dans un des spacieux placard ou dans une toilette. C'tout? La questionnais-tu à nouveau, car bon, pas que tu ne le crois pas, tu l’embêtais un peu, un sourire taquin sur tes lèvres, hochant la tête à sa question, un air embêter, un regard envieux suffisait pour qu'elle t'ouvrît à nouveau son décolleté, ou tu y jetais un bref coup d’œil. Plutôt bien tout ça alors que sa main passait sur ton torse et bien avant que tu le remarques elle était dans ton pantalon, dans ton caleçon plus précieusement, ce qui avait l'art de te faire de l'effet, car oui, au contact de sa peau contre la tienne, tu fondais tel un enfant, sa peau était douce. Plutôt bien tout ça alors que sa main passait sur ton torse et bien avant que tu le remarques elle était dans ton pantalon, dans ton caleçon plus précieusement, ce qui avait l'art de te faire de l'effet, car oui, au contact de sa peau contre la tienne, tu fondais tel un enfant, sa peau était douce. Prochain patient, c'pour les autres Tu te rendais au lieu, un homme avait fait un infarctus tel que les symptômes sont décrit, tu lui apportais les premiers soins, ensemble avec Bridget, l’emmenant vers l'hôpital, tu laissais sa femme monté à bord, paniquée, les sirènes annonçant une urgence retentissent, concentré sur la route tu jetais un coup d’œil vers la poitrine de Bridget, t'es comme ça Luigi, tu ne peux pas attendre pour une jolie femme. Tu sais.. Ils ne te voient pas parlais tu en décrivant ce que vous vous apprêter à faire quelques minutes avant l'appel. Et puis.. Je n'ai rien contre un peu de plaisir au volant.. T'affichais un sourire coquin un sourire taquin, mais surtout joueur. Tu n'avais pas peur de faire ce genre de choses durant tes heures de travail, même pas peur de te faire attraper et c'est une des raisons que tu le fais avec cette étudiante-là. Je crois même avoir fait tomber quelques choses..

C'est vrai qu'au fond de toi, tu râles un peu, tu râles, car tu n'as pas obtenu ce que tu voulais à cause de se fichu téléphone qui se met à sonner alors qu'elle allait t'offrir ces quelques minutes de plaisir, sûrement quelques-unes de cette journée qui s'annonce plus que longue, car vous êtes de service jusque tard ce soir à cause de deux malades et donc vous êtes retenus, bien que ça ne te dérange pas, tu es même plutôt content, car tu es avec la jeune femme. Elle te faisait remarquer que la route était dangereuse quand on ne la regardait pas, elle marque un point, mais après tout, c'est sa faute. Tu n'as qu'a pas être si bien garnie. Disais-tu en posant ta main sur sa jambe, tu poussais même ton geste encore plus lois en la glissant vers son entre-jambe. Elle se baissait à son tour, pendant ce temps, tu reprenais ta main chez toi, sur le volant, car ton pantalon était déjà déboutonné. En se relevant elle disait que tu devais patienter d'être arrivé à l’hôpital, ce que tu comprenais ce n'est pas respectueux envers elle, surtout pas devant des gens. Ce que t'aimes chez elle s'est qu'elle est libre, libre comme l'air, comme toi, ou presque, sauf que toi t'es fiancé, mais tu t'en fiche en ce moment, mais ça elle ne le savait pas encore. Une fois arriver à l’hôpital, tu rentrais le patient ainsi que sa femme qui ne pouvais pas aller plus loin que les salles d'attente, une fois tout ça fini, tu regardais ton horloge, l'heure de la pause avait sonnée, ENFIN, la relève allait être pris et ça pendant plus d'une heure. Sauf que dans ton métier, les heures de pose ne se font pas autour d'une table, ils se font de la camionnette, avec ton collègue. C'est l'heure de manger ? Disais-tu en regardant vers ton pantalon déboutonner, un sourire coquin aux lèvres. Tu sais que t'as une sale réputation à Bristol, celle d'un gamin de merde qui saute sur tout ce qui bouge mais tu t'en fiche, tu vie ta vie, t'es un connard au fond mais t'en assumeras les conséquences, en espérant au fond qu'elle sera là, le jour ou ta fiancée apprendra que tu la tromper. Si j'étais toi.. J'irais vraiment voir, je crois avoir fait tomber quelque chose au sol.. Un rire t'échappait, elle voulait se faire désirer, tu le sais, elle est comme ça et t'aimes ça. Cette fois, il n'y aura aucun contre temps, sauf si elle le décide, si elle ne veut pas de toi, mais homme à femmes ne veut pas dire violeur donc si c'est le cas, tu la laisseras, bien que ça t'étonnerais.

Mademoiselle avait faim, après de nombreuses propositions ratée, tu décidais d'abandonner pour le moment, tu décidais de changer de rôle, de te faire désirer à se placer, encore plus qu'elle. Tu roulais jusqu'à une des petites boulangeries du coin, il vous restait pas mal de temps encore et tu lui proposais cet endroit, vous n'avez pas le droit d'aller au restaurant, vous devez impérativement rester dans le véhicule aussi longtemps que vous le pouvez au cas où une urgence telle qu'un attentat ou une catastrophe naturel a lieu. Nous mangerons ici, dans l'ambulance, ordre de la chef. sa main glissait le long de ton torse, une fois arrivé à hauteur de ta ceinture, tu déposais un léger baiser, n'allant pas plus loin tu continuais à rouler vers cette boulangerie que t'aimais tant à Bristol, elle possédait le meilleur pain de la ville, le pain qui sortait de établissement était encore souvent chaud. Tu arrivais sur le lieux et stationnais devant la boulangerie et laissais la jeune femme passer devant, tu restais dans la voiture, on ne sait jamais, ce fameux téléphone peut sonner à tout moment de la journée bien que normalement vous ne devez pas être dérangé d'ici tôt, à ton tour tu allais te chercher un pain français que tu manger en quelques boucher seulement, tu prenais une gorgée d'ice-tea, lui proposant d'en boire à son tour, qu'elle boit à ta bouteille ne te dérange pas, ses lèvres ont déjà toucher pas mal de partie de ton corps et tu ne vois pas pourquoi tu serais dégoûte d'elle. T'approchais ton visage du sien, lui volant un bref petit baiser, voir sa réaction, sans rien forcé, tu avais déjà pas mal demandé et c'est à ton tour de te faire désirer.

T'avais décidé de rester plus distant désormais, de te faire désirer. Sa remarque au sujet de cette boulangerie te faisait rire, mais c'était la meilleure du coin, de la ville entière. Vos lèvres se retrouvèrent rapidement, mais pour un court instant seulement, tu menais la danse, tu décidais de ce qu'il se faisait, mais elle ne te laissais pas insensible au toucher de sa main sur ton corps. Mais elle arrive à te faire craquer, te faire arrêter tout sérieux en t'embrassant fougueusement, très vite, vos langues se touchèrent à de nombreuses reprises, ce baiser était loin des deux baiser chaste que vous aviez précédemment échangé, mais avec elle, c'est autre, tu l’embrasses sans raison, et ça depuis que vous vous voyez pour le sexe, tu l'embrasses comme si au fond vous partagiez une quelconque relation, comme si c'était ta petite amie, mais non, vous n'êtes que des amis. Tu répondais à son baiser avant d'y mettre une fin, tu mettais a rouler à la recherche d'une ruelle sombre, une ruelle calme ou tu pourras lui faire passer du bon temps, ou tu pourras la faire hurler de plaisir. La recherche s'annonce longue, mais vous avez le temps, tu défaisais les quelques boutons de son décolleté, laissant son soutiens-gorge voyant à l'avant de la voiture. Oups.. ton pantalon tait déjà déboutonner, ton ressentait l'envie en elle, elle n'était pas comme ce matin, elle est plutôt comme la première fois, envieuse et t'aime ça, tu sais que tu obtiendras ce que tu désires d'elle.

Ta garde baissait, elle reprenait le contrôle de toi, de vous après s'être emparé du préservatif qu'elle appliquait avec délicatesse. Ton t-shirt à présent enlevé, enfin prêt à prendre ton pied, une fois de plus elle se mettait à califourchon sur toi, cherchant ton intimité à l'aide de mouvements de son bassin, tandis que tu faisais légèrement de même, bien que pour toi, ce fût facile. Elle te demandait de prendre possession d'elle, ses vêtements au sol, tu ne répondais pas, tu commençais le travail lui offrant déjà tes premiers coups de reins, des coup de reins sobre, des coup de reins qui s’intensifieront au fil du temps, tu laisses les choses faire, tu peu ressentir l'envie de la jeune femme, son intimité est humidifié, son intimité t’appartient désormais. Ce genre de choses est banal à tes yeux, faire l'amour s'est devenu un jeu d'enfant pour toi, surtout avec elle, tu sais ce qu'elle aime, ce qu'elle n'aime pas. Tes mains quittaient ses hanches pour ouvrir la petite porte derrière toi ou t'y plaçait se téléphone, t’éteins la radio, maintenant plus rien ne compte sauf elle. Tu les reposais là où elles étaient, sur ses hanches pour accompagner ses mouvements. Tu reposais tes lèvres sur les siennes, l'embrassant langoureusement cette fois. J't'ai déjà dis que t'es plutôt doué pour ce genre de choses ? Disais-tu en intenssifiant légèrement tes coups de reins.

Tes coups de reins qui deviennent de plus en plus intense, tu t'amuses, tu aimes, t'es motivé, motivé rien qu'à l'entendre gémir, motivé comme à chaque fois, avec elle tu pourrais faire ça durant de longue heures, des jours même, elle te passionne, son corps t'appartient et désormais c'est un fait, une fois de plus elle est en pleine extase, alors que toi aussi tu prend ton pied, en contenant tes émotion, ralentissant au bon moment, t'es devenu un homme avec de l'expérience dans ce domaine et tu en es assez fier, assez fier de tes performances, bien qu'avec elle c'est assez facile, avec elle tu peux être l'homme que t'es réellement, l'homme à femmes, cet homme qui profite d'elles, cet homme qui s'envoie en l'air avec la femme de son choix et elle le sait, elle le sait qu'elle ne te changera pas, tu resteras ce chaud lapin, cet homme qui aime les femmes. Elle se retient au volant, ce qui offrait une pénétration de ton intimité un peu plus profonde dans la sienne, ce qui ne déplaisait pas à la jeune femme, tu la sentais craquée sur toi, pendant que toi, tu es sur le point de te laisser aller aussi, mais tu le refuses, tu veux garder cette image de toi intacte. T'es un macho, Luigi. Les secousses faisaient vibrer les cuisses de Bridget, la laissant pousser un dernier crie, un crie pleins de plaisir, un cri qui te fais plaisir, une cris t'annonçant que tu as réussis ce que tu voulais, une fois de plus, sachant qu'à chaque fois ça devient de plus en plus compliqué, elle sait très bien de quoi tu es formé, vos torse se touchent, son front se met contre le tien, tu l'embrassa, te débarrassant déjà du préservatif que tu le nouais et balançais par la fenêtres après l'avoir ouverte, voilà le résultat de vos ébats, un bout de plastique en plus au sol, t'affirmant que c'est à toi désormais tu la regardais dans les yeux, des yeux pleins d'envie,e tu te doutes que ce n'est pas finis. Car... Tu as déjà fini, toi? Tu visais vos ébats, tu croyais qu'elle était bien plus difficile, tu vois qu'au fond, elle n'a pas besoin de beaucoup pour atteindre l'extase. Son corps toujours sur le tien, vos intimités se touchent encore, se frôlent et chaque frôlement ravi une flamme en toi, une flamme pleine d'envie.

Finis, fini pour elle, ta tâche d'homme était accomplie, tu lui as fait du bien, tu lui as donné quelques minutes de plaisir, une fois de plus, entre vous, c'est partit en sucette, une fois de plus, vous êtes dénudés, l'un sur l'autre, une fois de plus vous vous êtes fait plaisir, une fois de plus vous avez oublié ce qu'il y avait autour de vous, vous avez arrêter le temps. Faible, c'est comme ça que tu te sens en la voyant accroupie, t’octroyant du plaisir, tu sais que tu ne peux y résister, c'est plus fort que toi, t'aimes ça et encore plus avec elle. Ses lèvres font des va-et-vient, pour ton plus grand plaisir, t'aime ça, quelques bruits s'échappent, c'est plus fort que toi, mais tu ne t'avoues pas vaincu pour si peu. T'accompagnes ses mouvements, retiens ses cheveux en les passant derrière ses oreilles, tes muscles se cambrent à chaque va-et-vient de ses lèvres, t'aimes. Elle marque une pause te demandant si t'aimes, tu ne réponds pas immédiatement, t'en es incapable et te contente de continuer à prendre du plaisir. Surtout quand c'est toi qui m'offre ça.. Car oui, tu ne laisse pas tout le monde faire ce qu'elle fait, c'est l'une des seule qui a le droit à te faire du bien oralement, tu refuses toutes avances, tu refuses qu'une inconnue y touche, désormais, bien qu'avant, Bridget en était une aussi. Son portable sonne, tu souffles un coup, un soupir d'énervement car tu comptais bien continuer, mais elle s'en fou, on dirait. Tu ne réponds pas ? tu regarde le téléphone su la banquette, ne sachant plus sur quoi te concentrer, sur elle ou le portable, ses va-et-vient ou la sonnerie? Dans ta tête, c'est claire, seulement elle, ses lèvres et ton plaisir.

Sa meilleure amie lui sonne, elle refuse l'appel laissant le téléphone sonner et pourtant elle ne rappel pas, n'insiste pas, tu hausses les épaules, pendant que ses lèvres se reposent ou elles étaient au part avant, pendant qu'elle augmente la cadence des ses mouvements, tes mains accompagnent toujours ses mouvements car tu aimes ce qu'elle te fais et ce n'est pas nouveau, elle le sait, elle sait comment te faire réagir et au plus vite qu'elle y va, au plus que ton désire monte en toi. Tes muscles se serrent, tu te retiens, tu ne veux pas paraître faible à ses yeux et elle le sait,elle sait que t'es assez macho quand il s'agit d'exploits sexuels. D'habitude, toi, tu ne regardes pas au plaisir de la femme, sauf lorsque tout ça se passe avec Bunny, tu tentes de rester crédible, car elle ne sait toujours rien pour ta liaison avec Bridget et c'est peut-être mieux comme ça pour le moment, sachant qu'avec Bridget tu te redécouvre, tu lui donnes du plaisir, elle t'en donne, ce qui n'est pas dans vos habitudes, car elle était comme ça aussi, prenant son plaisir, elle a dû t'en parler une fois. Tu jetais légèrement un coup d’œil à l'heure indiqué sur la radio de la camionnette, votre journée était bientôt finie, ce qui avait le don de te faire sourire, car tu sais que tu n'auras plus d'appels en urgence et tu peux enfin oublier se maudit téléphone. Tu te cambres, tu sens qu'à ton tour ça va venir, tu en es proche, toi aussi, mais t'as envie de poursuivre vos ébats pourtant, tu te laissais aller, la prévenant en arrêtant d'accompagner ses mouvements, tu lui laissais le choix de faire ce qu'elle voulais désormais, car tu respectes encore un minimum les femmes, mais Bridget plus que tout. Bri..