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 numb ✧ cellegan

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MessageSujet: numb ✧ cellegan   numb ✧ cellegan Icon_minitimeSam 12 Aoû - 18:46


Cellegan Graham
FEAT WILLIAM WOSELEY

PRÉNOM › Cellegan, un prénom peu commun, original et qui m'est bien à moi.
NOM › Je porte le nom de Graham, le nom d'une famille reconnue en Angleterre.
SURNOM › Tout le monde me nomme Cee, ou encore monsieur G vu mon statut.
ÂGE › Je suis âgé de trente ans.
ORIGINES › Je suis un anglais pure souche.
SITUATION AMOUREUSE › Je suis mariée depuis sept ans, mais suite à certain événement, nous sommes séparés depuis deux ans, pourtant les papiers ne sont pas signer et je n'en ai pas envie.
SITUATION FAMILIALE › J'ai un frère, Jakob et j'ai un fils, Jonathan, il est âgé de six ans.
SITUATION FINANCIÈRE › Riche d'une certaine façon.
MÉTIER/ÉTUDES › Je suis ingénieur pour le compte de mon père.
ORIENTATION SEXUELLE › hétérosexuel.
GROUPE › Fantasia
AVATAR › William Moseley.
PROTECTEUR

ARROGANT, IMPULSIF

FIDÈLE, ROMANTIQUE

VIOLENT, COLÉRIQUE

ALTRUISTE, FONCEUR

JALOUX, POSSESSIF
et ta vie, elle ressemble à quoi?

POINT 1 › Il vit la vie rêvé depuis sa naissance, enfin, c'est ce qu'il montre à tout le monde. Le parfsit fils de riche qui fait attention à sa personne et à son image. Le genre d'homme qui suit papa sans broncher. Pourtant il est loin d'être ce genre d'homme.
POINT 2 › Au fond, Cellegan n'est pas si différent de son frère, il n'est pas un criminel, mais il ne respecte pas non plus la loi. Il fait parti de combats clandestins. Il se bat depuis qu'il sait le faire. Il pratique les arts martiaux, mais depuis plusieurs mois, il n'y arrives plus. Cellegan ne se gêne pas à frapper s'il en sens le besoin.
POINT 3 › Du à une anomalie génétique fourni par sa personne et sa femme, son fils, Jonathan est atteint de Fybrose Kystique. Son fils est cloué dans un lit d'hôpital depuis un mois. Jonathan est ce qui tient encore la relation de ses parents et sa santé ne va pas très bien.
POINT 4 ›Il y a quatre mois, Cee s'est retrouvé là où il ne devait pas. En fait, il s'est foutu dans une situation qui lui a valu quatre mois de comas. Voulant protéger son frère, il s'est retrouvé tabasser par les amis de ce dernier. Poumon perforé, six côte cassées, la jambe droite brisée à deux endroit, le bras gauche brisé à trois endroits et fissuré à deux autres, trois dois cassés, le nez cassé, la mâchoire fracturée et quatre vertèbres endomagées. Ils l'ont simplement laissé pour mort.
POINT 5 › Son mariage avec Aubrey bat de l'aile depuis que Jakob est en taule. Elle lui a constament répété qu'il finirait par le tuer, ou du moins en être la cause et c'est bien ce qui était sur le point d'arriver. Cee ne l'a jamais supporter, tous ces repproches que faisait sa femme et elle a fini par le quitter.
POINT 6 › Il fera toujours tout ce qu'il peut pour protéger son frère, c'est la prunelle de ses yeux, quelqu'un à ne pas toucher, il donnerait sa vie pour lui, il ferait tout, pohrtant, il en a déjà fait énormément. Qu'est-ce qu'on ne ferait pas pour ceux qu'on aime. C'est sont meilleur ami, son sang.
POINT 7 › Depuis son réveil, il est désorienté, enragé. Son père refuse de lui dire où est son frère. Il a balancé un coup au visage de son père, sans réfléchir, lui brisant le nez par la même occasion. Chaque fois qu'il fait une recherche, il n'arrive à rien, son père bloque tout.
POINT 8 › Il est accroc à la frappe, au sang qui coule sous ses jointures. Une drogue tout à fait étrange. Il sait très bien le cacher à tout le monde, du moins, il y arrivait plutôt bien, aujourd'hui, les choses seront différente, son passé lui reviendra en pleine gueule.
POINT 9 › Il croit qu'il va bien depuis son réveil, mais sa comotion cérébrale lui a laissé quelques souvenirs. Il est atteint de trouble de l'humeur, des sautes d'humeur importante. Il est victime de maux de tête chronique. Ses sensation physique sont diminué, il ressens moins la douleur. Il lui arrive parfois d'avoir des vertiges. Pour finir, il est sujet à l'épilepsie depuis son réveil, lui qui n'avait rien de tout ça...
POINT 10 Il est allergique aux fruits de mer. Il pourrait en mourir s'il ne fait pas attention. Il faut l'avoué avec quatre mois dans le coma, l'epipen s'est perdu en route.


et toi derrière l'écran, t'es qui?


PSEUDO / PRÉNOM › Écrire ici.  ÂGE › Écrire ici.  SEXE › Écrire ici.  PRÉSENCE › Écrire ici.  NIVEAU RP › Écrire ici.  TYPE DE LIEN FAVORIS › Écrire ici.  OÙ AVEZ-VOUS TROUVÉ LE FORUM › Écrire ici.  ÉTIEZ-VOUS SUR LA PREMIÈRE VERSION? › Si oui, vous rappelez-vous qui était votre personnage?  COMMENT LE TROUVEZ-VOUS › Écrire ici.  SCÉNARIO, POSTE VACANTS OU PERSONNAGE INVENTÉ › Écrire ici.  CÉLÉBRITÉ › Écrire ici.  UN DERNIER MOT? › Écrire ici.


Dernière édition par Cellegan Graham le Mer 16 Aoû - 10:39, édité 12 fois
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MessageSujet: Re: numb ✧ cellegan   numb ✧ cellegan Icon_minitimeSam 12 Aoû - 18:47


ALL STRONG MEN COULD FALL
JUST A BOY STUCK IN A WORLD HE TOUGHT HE KNEW




EVERYTHING STARTS WITH A FIGHT FOR A GIRL  Ils te disaient prince charmant, fils de riche et pourtant te voilià tel un preux chevalier sauvant la demoiselle en détresse.

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BEAUTYFULL IN HER WEDDING DRESS  Elle est là au bout de cette allée, elle marche vers toi, tu te croyais incapable de vivre ce moment et pourtant, te voilà devant l'autel le souffle coupé.

Tu as la nervosité jusqu'au bout des doigts. Tu ne tiens pas en place et pourtant, tu te dois de rester tranquille, de ne pas bouger. Tu avais l'énergie pour courir un marathon, peut-être même deux. Tu n'avais aucun doute sur les mots que tu allais devoir prononcer. Ton impatience se fait sentir et tu croises le regard de ton père installé à la première rangée. Tu en perds un instant ton sourire jusqu'à ce qu'un coup de coude te rentre dans les côtes. Tu baisses les yeux vers ce petit blond qui te sourit bêtement. Tu lui avais demandé une journée. Une journée avec toi, sans bêtise, sans rien. Il l'avait respecté à merveille, si seulement il pouvait t'écouter comme ça à tous les jours. Tu le fixes un moment mais il lève une main qui dirige ton regard vers le bout de l'allée. Un frisson te parcours l'échine et tu as l'impression que tes genoux vont t'abandonner. Tu baisses les yeux avec ce sourire armé de gêne et tu glisses ta main dans tes cheveux. et regarde ailleurs pendant que cette musique de marche te perturbe le cerveau. Tu n'arrives pas à la regarder et pourtant sa voix vient tout capter de toi. « Cellegan? » Tu lèves les yeux vers elle et c'est automatique. Tu fais un pas vers elle et lui agrippe en douceur le bras pour l'accrocher au tient. Son sourire est contagieux, elle est magnifique. Elle a captivé ton attention, tu n'entends même pas le prête mentionner ton nom. Tout ce que tu vois c'est elle le rire mielleux qui se glisse dans tes oreilles. Tu souris bêtement. Tu reçois un coup de talon sur les orteils ce qui te ramène à la réalité. « Désolé! Vous disiez? » Les invités se sont tous mit à rire et tu as baissé les yeux embêtés. Elle a glissé sa main sous ton menton pour que tu l'observes. Tu avales de travers, elle le voit bien que tu es désemparé. Elle s'approche de toi et te prend les deux bras avant de tourner la tête vers le prêtre. Elle te secoue un bras pour que tu l'imites. Tu le regardes enfin et il répète ce qu'il avait à dire. C'est à ton tour. Ton regard revient vers elle. « Je le veux. » Elle tressaute, elle entend ta voix pour la première fois ce jour là. Cette fois, c'est à ton tour de laisser tomber un rire. Puis les mots : je vous déclare mari et femme on retenti. Tout autre son sont passé inaperçu. Tu as cru entendre les gens applaudir et une poussé dans le dos tu te retrouves collé à elle. Tu glisses ta main le long de son menton la posant au final dans sa nuque pour poser tes lèvres contre les siennes.

BEING MORE THAN A BROTHER  La nuit bat son plein et tout ce que tu arrives à faire, c'est ne pas dormir. L'inquiétude te ronge de l'intérieur, tu n'abandonneras jamais l'affaire.

Il a seize ans, tu en as vingt-quatre. Il vit toujours chez les parents et toi aussi. Tu y vis dans une aile à toi de la maison. C'est ça le plaisir d'avoir une famille trop fortunée. Tu n'es pas forcé de quitter la maison lorsque tu atteints l'âge, où que tu épouses la femme la plus merveilleuse que tu pourrais connaitre. Il n'est pas à la maison ce soir et tu le sais. Tes parents n'ont pas l'air de s'en soucier, mais toi si. Pour la cause, tu es installé au comptoir de ta cuisine à fixer le point rouge clignotant sur ton téléphone. Tu glisses ta main dans tes cheveux. Tu attends qu'il revienne à la maison. Puis tu sens une main douce contre ton épaule dénudé. Elle se penche et t'enroule de ses bras en silence. Elle prend ton téléphone pour le rabaisser écran contre la table. « Arrête Cee... Tu vas finir par te tuer à force de t'inquiéter pour lui. » Tu lui as embrassé la main en silence sans pour autant lui offrir une réponse. Tu sais très bien qu'elle a raison, mais tu n'arrives pas à faire autrement. C'est ton frère et tu tiens trop à lui pour le laisser tomber. Tu tournes la tête vers elle et laisse tes lèvres se mêler aux siennes avant qu'elle ne s'éloigne. « Ne te couches pas trop tard. Je t'aime. » Tu lui souris et récupère ton contact visuel avec l'écran. Tu attends encore un peu et tu vois qu'il revient vers la maison. Tu te lèves en grognant et traverse les longs couloir de la baraque pour rejoindre la chambre de ton cadet. Tu t'imposes en poussant la porte. Tu sais qu'il n'est pas là, tu sais qu'il est sur le point d'arriver. Tu te poses sur son lit désemparé. Tu fixe le vide un moment et la porte est poussée. Tu lèves les yeux et croise son regard. Tu poses ton portable sur son lit, l'écran bien lisible. « Où est-ce que t'étais? » Tu n'es pas fâché, peut-être un peu, mais tu es plus déçu qu'en colère. Tu glisse une main contre ta nuque en te redresse. Tes pieds au sol, tu t'approches de lui et l'attrape par le bras pour le tirer contre toi. Tu le prends dans tes bras. « Je t'en pris Jake... Arrête. » Normalement, tu lui ferais la morale comme toujours, mais cette fois, tu n'en peux plus, tu es au bout du rouleau. La fatigue te tue. Tu profites simplement de le garder dans tes bras un moment. Tu te recules après une dizaine de minute et plaque ta main contre sa joue. « Tu sais que je t'aime Jake. J'ai pas envie de te perdre. Si tu finis en taule, je sais pas ce que je deviendrais... » Tu récupères ton portable et sort de la chambre, près à rentrer chez toi.

FIGHTING FOR BLOOD  Ils te croient tous comme étant le fils parfait, pourtant, si seulement ils connaissaient la vérité, tu ne vaux peut-être pas mieux que ton frère.

Le diner avait été noir. Pas un mot, pas un regard. Elle te connait trop bien pour savoir que tu as quelque chose derrière la tête. Elle sait très bien que tu t'embrouilles l'esprit pour ton sang. Elle sait très bien que personne ne pourrait t'arrêter. Tu as envie de frapper, de voir le sang couler. Elle sait trop bien qui tu est pour savoir qu'elle ne peut pas t'arrêter. Elle sait très bien ce que tu fais de tes nuits, elle sait très bien que le sang sur tes chemises est bel et bien le tien. Elle sait qu'elle n'a pas son mot à dire. Tu vogue à tes occupations nocturnes, tu seras toujours là quand elle le demandera, tu réponds toujours à ton portable. Elle te connait, ce n'est pas la première fois qu'elle vit ce genre de chose. Elle n'a rien à dire. Elle n'ose même pas avoué que tu allais être père. Elle connait ton tempérament, ce côté explosif et elle sait très bien qu'elle n'aurait sûrement pas l'effet escompté, cette nouvelle. Tu n'as presque pas touché à ton assiette et tu te lèves d'un bond dès que l'horloge devant toi affiche vingt heures trente. Tu prends ton couvert et fou le tout sur le comptoir. Tu lui embrasses le dessus de la tête avant de quitter la maison les poings serrés. Tu sais très bien qu'il n'est pas à la maison et tu n'as pas envie de lui courir après. Tu as d'autres chats à fouetter, à frapper. Tu montes dans ta voiture et conduit jusqu'à cette usine désaffecté. La tête bien haute tu es entré sans te cacher. Dans ce monde, ils te connaissent, ils te connaissent même un peu trop. Tu en as envoyé quelques uns aux soins intensifs. Quand tu perds la tête, tu la perds pour de vrai. Tu étais prêt à frapper, rendre et recevoir les coups. Tu as participé à six combats en une soirée, c'était une première pour toi. Tu en étais sortie vainqueur à chaque fois. L'organisateur est venu te voir, c'est ton meilleur ami, il te connait trop bien. Pour que tu descendes à Bristol à cette heure, quelque chose cloche. Il était passé quatre heures du matin, tu en avais pour trois heures à vitesse normal, deux à ta conduite habituel. « Cee. Arrêtes. Tu vas finir par te tuer, ou te faire tuer. Merde, Ryan, tu l'as presque tué putain. »  Tu lèves les yeux, tu le fixe en silence. Tu récupères ton bras qu'il tenait et tu fais un pas sur le côté. Tu craches à ses pieds ce sang qui te donnais un goût de fer et tu récupères ta veste et ton pognon avant de foutre le camp. De retour en voiture, tu roules vers la maison. Tu prends la peine de récupérer ton portable. Il est là, à la maison. Il a dut se demander pourquoi tu n'étais pas venu le réprimander. Tu le lances sur le siège passager et tu laisses l'adrénaline redescendre. Elle s’inquiétera pour toi, tu le sais très bien. Tu pourrais attendre qu'elle soit partie pour le boulot, mais elle ne te laissera pas tranquille de la journée.

LOOSING FAITH  Tu le regardes passer la porte de la salle, pieds et poings liés, tu ne peux rien y faire et la rage te tient par l'estomac, ta mère par le bras, une prison tout à fait différente.

Tu les entends de l'autre côté de la porte. Ton père hurle et ta mère pleure. Tu restes là, le dos plaqué au mur. Une fois de plus, une fois de plus il avait fait une connerie. Tu fermes les yeux en serrant la mâchoire. Tu savais très bien qu'ils n'y arrivent plus. Ton père hurle tellement fort que tu pourrais l'entendre à l'autre bout de la maison. Jakob était au poste. Une fois de plus. Cette fois c'était la dernière, tu le savais. Tu t'es mit à grogner avant de pousser la porte. Tu les fixe un à un. Ton père fait les cent pas et ta mère est affalé sur une chaise les mains tremblantes. C'est à peine si ton père te donne une dose d'attention. Tu allais exploser, dire quelque chose, mais tu entends sa petite voix traverser la porte. « Papa! » Tu jettes un regard noir à ton paternel avant de te retourner un large sourire au visage. Tu réceptionnes ton gamin et le prend dans tes bras le soulevant de terre. Il n'a qu'un an. Levant les yeux, tu la vois les cheveux libéré sur ses épaules, par sa simple présence elle t'apaise. Tes épaules se relâchent et tu l'embrasses, mais ce n'est pas pour duré.

Quelques jours plus tard, te voilà posé sur ce banc de bois dans cette salle remplie de personne. Tu le vois dans cet uniforme immonde, juste devant. Tu es forcé à garder le dos droit, ta mère te tien fermement le bras pour que tu ne bouges pas. Tu as cette envie de te lever et de hurler, mais elle te retient de toutes ses forces. Tu reste là, silencieux à attendre ce foutu verdict qui va te rendre dingue. Ta main se serre contre ton pantalon et te traverse pratiquement la peau pour rejoindre tes muscles. Tu préfères la douleur physique que celle de savoir ton frère de l'autre côté des barreaux. Plus le temps avançait, plus tu bouillonnais de l'intérieur. Le marteau fini par frapper de ce son sourd et la coquille éclate. Tu te lèves d'un bon repoussant ta mère d'un geste brusque. Ton frère se lève, entraîné par les flics et toi tu tournes les talons vers la sortie et déboule à un pas trop rapide. Tu avais envie de faire une connerie, de faire quelque chose de stupide, le rejoindre pour veiller sur lui.

FIGHTING FOR INTEGRITY  Ils cherchent à te tuer, c'est l'impression qu'ils donnent, ils te laissent pour mort parce que tu cherches à protéger ce qu'il te reste.

Huit mois... Cela fait huit mois que ton fils est scotché dans un lit d'hôpital et que tu perds la tête. Tu as beau avoir Aubrey près de toi, elle n'a plus le même effet qu'elle avait à l'époque. La nervosité te tenait de façon permanente à la gorge. Tu étais agressif, inconscient, tu étais sujet à faire des conneries et c'est justement ce qui s'est passé. Aubrey est venu un matin accompagné de ton père. Pour une fois, tu t'étais assoupi, le front appuyé contre le lit. Il ne t'a fallu que le bruit de ses pas pour que tu te réveille. Tu as surpris leur conversation. « Aubrey... Comment va-t-il? » C'est à se demander s'il parle de toi ou de ton fils. C'est dure à dire, tu restes immobile, tu écoutes, tu attends. « Pas très bien... Il ne dort plus, je ne sais même pas s'il sort de cette chambre, s'il mange... » Tu le sais bien, elle parle de toi. Ton fils est prit dans se lit et il dort et mange très bien, toi non. Tu vas pour te redresser pour signaler tu ne dors plus, mais tu te figes, incapable de bouger. « Son frère sort dans quelques mois, je tiens à ce qu'il prenne soin de lui-même, qu'il laisse son frère dans ses problèmes. » Voilà ce qui te sort de ta bulle, de ce dure moment près de ton fils. Tu tenais à protéger les arrières de ton frère, tout faire pour qu'il soit tranquille, que cette univers l'oubli. Tu t'es levé d'un bon en toussant un coup et tu as quitté la chambre sans leur jeter un coup d'oeil. Déjà les poings serrés, rien ne pourrait te faire entendre raison. Ton frère sort de prison dans quelques mois et tu resteras son frère, prêt à tout pour le protéger. Tu t'élances dans les rues de chez toi, sans pour autant savoir où tu vas, tu n'as aucune idée de où tu pourrais les trouver. Tu sais très bien que tu tomberas sur eux un moment ou l'autre et puis, voilà, tu en reconnais un au loin, puis deux. Tu ignores ton côté chancelant. Aubrey avait raison, tu ne dormais plus vraiment, tu ne mangeais plus vraiment et tu voulais t'approcher d'eux. Tu n'avais pas vraiment d'énergie, que la rage au ventre. Tu serres les poings et les cachent dans les poches de ta veste. Tu t'approches et les alertes d'un grand. « Hey! » Ils s'arrêtent et ton coeur accélère. Tu commences à avoir chaud et c'est désagréable. Tu n'as aucune idée de ce qui t'attend. « Monsieur G. Cellegan Graham. Qu'est-ce que tu veux? » Ils sont amusé de te voir et tu n'aimes pas ça. Tes poings se serrent encore et tu sens tes ongles traverser ta peau. Tu fais un pas vers celui qui semble avoir prit la tête et tu regardes du coin de l'oeil ceux qui se postent autour de toi. C'est une idée suicidaire, mais tu t'en fiches. « Laissez mon frère hors de vos histoires. » Ils éclatent de rire et celui derrière moi me bouscule vers l'avant. Tu retiens ta respiration jusqu'à ce que les rires tombent. Ta voix n'a rien donné. Tu les regarde un à un. Tu es foutu. Tu le sais. Tu n'as pas le temps de sortir les poings que tu reçois le premier coup directement sur le nez. Tu es propulser vers l'arrière, attrapé par un autre. Il te repousse au centre et cette fois tu lèves le poings. Tu rends le coup qui t'as été donné à la mâchoire. Tu la sens craqué sous ton coup et c'est au moment où il heurte le sol que tu sens une lame de traverser la chair jusqu'à ton poumon. Ta respiration se coupe. Il te tien pour que tu ne tombes pas. Il te l'enfonce un peu plus, histoire que ton sang afflux vers le haut. Du sens le sang te monter dans la gorge et sortir par ta bouche. Tu te retrouve poussé au sol et les coups de pieds te sont tombés dessus sans retenu, sans arrêt, jusqu'à ce que tu ne bouges plus, jusqu'à ce que tu sois inconscient, baignant dans ton propre sang.

DESTROYED BY FOUR MONTHS  Seul au froid, dans le noir, tu n'arriveras jamais à retrouver ce que tu as perdu. Tu le sais, mais tu ne le crois pas.

Commotion cérébrale. Ce n'est qu'un des résultats de ce passage à tabac. Tes doigts s'agitent, du moins, certains d'entre eux. Ton pouce de la main gauche creuse contre les couvertes, tout comme l’auriculaire et l’annulaire. Ta main droite se dresse difficilement dans les airs. Tu sens ta cage thoracique monter et descendre avec difficulté et inconfort. Ton bras gauche reste immobile, posé contre les draps, tu n'arrives pas à le bouger. Tes jambes ne bougent pas non plus et tu n'arrives pas à ouvrir la bouche. Pour être honnête, tu ne sens plus aucune sensation dans le bas du corps. Tu ouvres enfin les yeux qui se pose sur le plafond trop blanc. Un grognement te racle la gorge et une douleur te prend. Tu l'entends... Cette voix si familière. « Henry! Henry! Il se réveille! » Tu entends les pas qui résonne et te donne mal à la tête. Tu ouvres les yeux à nouveau essayant de bouger, encore une fois, pourtant, rien ne semble bouger. Une main se pose contre ton épaule, cette soudaine chaleur te calme et dès que tu tournes les yeux, tu le reconnais. Ton père. « Mon fils, calmes-toi, l'infirmière arrive. » Tu réalise que tes voies respiratoires son obstrué. Tu sens la panique monter en toi et les machines s'excitent autour de toi. Tu sens l'autre main de ton père se poser sur ton torse. Tu n'entends plus rien, mais tu vois ses lèvres bouger. Puis tu ne le vois plus. Il n'y a que ce plafond blanc, puis cette tignasse brune qui ne m'est pas si inconnue. Elle me sourie, cette fille me sourit. Elle pose sa main sur mon tors et glisse sa main dans mes cheveux avec ce même sourire. Ma respiration se calme et les voix reviennent. Ma mère est en panique et mon père essaie tant bien que mal de la calmer, mais il est tout aussi paniqué qu'elle. Puis bien la voit de cette infirmière. « Cellegan Graham, Je ne m'attendais pas du tout à te croiser à Bristol. » Bristol? Attendez, elle parle de Bristol, Bristol? Mais qu'est-ce que je peux bien faire à Bristol! Pourquoi est-ce que je ne suis plus à Brighton? Où est-ce que je suis ? Jakob!Quel date on est. Je dois aller le chercher, il sort bientôt. Je dois être là. Je dois le faire. Ton corps engourdi ne semble pas près à bouger, tu te débats comme tu peux, mais avec se tube dans le fond de la gorge, tu n'arrives à rien. Il prit un moment avant que ce tube soit retiré de ta gorge et une foi libérer, tu tousse si fort, qu'on aurait pu croire que tes poumons pouvaient sortir. « Jakob. Je dois aller chercher Jakob. » Un silence plane, un silence lourd, trop lourd. Tu lèves les yeux vers ton paternel, le seul qui te regarde dans la pièce. L'infirmière quitte la chambre en silence. « Il est sorti. Je suis aller le chercher. Je l'ai fait pour toi, pas pour lui. » Il regarde sa montre et se dirige vers la porte sans même t'indiquer où tu es, où IL est. Il t'a prit un moment avant que les souvenirs te reviennent : ce passage à tabac, le temps avant la sortie de ton frère. Tu fais le calcul rapide. Tu es dans ce lit d'hôpital depuis quatre mois, quatre putain de mois. Minimum.
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